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Il faut tout, tout prévoir !

Un blog sur un chantier ? Quel intérêt ?

Oui ! Mais quand le chantier est habité par la Famille Dindon (de la farce) et que c'est une femme qui raconte les travaux, ça peut devenir amusant... surtout quand ça dure, ça dure... un an , deux ans, trois, quatre....

 

  avant /
après

 

 









- Pour les paresseux qui n'aiment pas lire, vous trouverez des
albums photos tout à fait parlants... (photos Bergère, tous droits réservés)
- Pour les femmes dont les hommes veulent se lancer dans les travaux, renseignez-vous avant !
- Pour avoir une vision plus globale de l'histoire avec photos, régalez-vous  de ma vision des travaux.
- Pour prendre des leçons de bricolage, instruisez-vous avec Maître Dindon.
- Pour savoir où nous en sommes
aujourd'hui, cliquez sur "les dernières avancées du chantier".
- Pour en rire un peu, allez tester "mes clins d'oeil"
- Pour connaître le
début de l'histoire, allez lire "le roman de nos travaux".

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5 avril 2007 4 05 /04 /avril /2007 22:19

 

  5 Avril 2006,
 il y a un an. Nous n'avions plus de toit. Quelle histoire de fou !

Bon ben voilà ! Les travaux, c'était il y a un an... et on ne peut pas vraiment dire que nous soyons proche du dénouement (mais nous avons un toit maintenant !).

Comme ça n'avance que peu en ce moment, je vous propose un petit interlude, histoire de changer un peu de sujet, car tout de même, y'en a marre des travaux !

Il y a tant d'autres sujets de conversation passionnants ! Tenez, par exemple, les transports en commun ! Il n'y a rien de moins commun que les transports du même nom et le sujet n'est pas plus ennuyeux que de parler d'un chantier.

 

Voyez-vous, lassée de mon chantier, j'ai repris provisoirement le chemin du boulot. Et me voici donc le matin, chevauchant mon CT50 (c'est presque un collector !), pour aller prendre le train. Casquée et gantée, je pars sur ma pétrolette longer les files ininterrompues de voitures déjà excédées de devoir rester coincées derrière leurs congénères. Toute pimpante et fière, je double mes voisins, leur adresse un coucou taquin et file à l'heure prendre mon train. Le voici qui arrive au loin, serpentant comme un ver de terre. Il ralentit, s'arrête devant les petits troupeaux de voyageurs hagards, programmés pour monter et descendre sans se poser de question.

 

J'y suis. Quel bonheur ! Il faut jouer du livre à livre ou du journal-journal pour se frayer un espace acceptable. Enfin le temps de lire ! (c'est quand même le principal intérêt des transports en commun franciliens). Le wagon est curieusement calme malgré le nombre important de personnes. Les visages sont fermés, insensibles et absents. Les voyageurs sont répartis en deux classes sociales : ceux de la première heure, les vernis qui sont assis, et puis le troupeau (dont je suis), balloté au gré des irrégularités du trajet. Certains lisent un livre ou un journal, d'autres paraissent endormis. Pourquoi ont-ils tous la tête baissée, en ce début de journée, comme s'ils faisaient pénitence ? Un jeune se fait bercer par un fond musical, qui profite d'ailleurs à la moitié du wagon. Je rigole en voyant la taille ridiculeusement petite de son MP3 et en repensant au baladeur à cassette que j'utilisais étudiante (encore un collector). Un homme debout pose la main sur l'épaule de sa femme assise, qui la lui saisie et la caresse. Comme c'est agréable un peu de tendresse dans ce monde en détresse ! Les vitres s'embuent au fur et à mesure des minutes qui s'échappent. "Val d'Or" : tiens, une gare pour ma fillette. Les maisons défilent. Les ouvriers sont à l'oeuvre dans les chantiers, les enfants courent dans les cours d'école. Un volet se remonte et laisse apparaître une petite mamie en robe de chambre et bigoudis. "Bonjour, Madame ! Le ciel est bleu, c'est une belle journée de printemps. Profitez-en."

 

Nous nous engouffrons dans un tunnel, noir comme un four. Les livres se rangent, les journaux se plient, les têtes se relèvent et prennent un air sévère et toujours aussi absent. Tout le monde est sur le qui-vive. "La Défense" ! Les portes s'ouvrent et, toutes griffes dehors, la foule se rue comme un seul homme, vers les escaliers. Un inconscient défie le courant de cette marée humaine, dans l'espoir fou de monter l'escalier et d'attraper le train qui, narquois et indifférent, annonce déjà la fermeture de ses portes.

 

Le courant me porte, presque sans toucher terre. Pas le choix, marche ou... marche. Deux couloirs se croisent créant un premier ralentissement. Puis un deuxième se forme devant la barrière de péage. St Arnoult, un dimanche de grand retour ! Plus lucide que mes collègues défenseurs, je me faufile vers la file de droite qui est, comme toujours, plus rapide et, avec mon passe liberT, je franchis sans encombre cet obstacle. "Cliquetis, cliquetas, passe par-là" semblent chanter en coeur les tourniquets. Je me retrouve dans le hall de la Défense, qui porte bien son nom. Il faut se battre pour avancer dans le sens choisi : les gens pressés se croisent et s'entrecroisent sans se rencontrer, se doublent et se bousculent pour aller s'engouffrer dans une autre rame, vers un autre tunnel. On ne reste pas à la Défense, on y correspond mais pas humainement. Quelques courageux essayent de croiser cette bande humaine pour entrer dans un magasin, parfois en vain.

 

Absorbée par la masse noire de la foule dont seuls les pas martèlent le silence, je me dirige irrémédiablement vers la bouche indiquant victorieusement les numéros des lignes de bus tels les numéros gagnant du loto. Là, deux grandes langues avalent ses victimes, consciencieusement, les unes après les autres, vers une journée plus ou moins glorieuse.

 

En haut de l'escalator, une tour surplombe l'entrée du gouffre et un bout de ciel apparait comme pour rappeler que nous vivons bien sur la planète bleue. Pas le temps d'en profiter, virage à droite, direction l'aérogare... des bus. C'est un long couloir fait de briques et d'acier avec des spots alignés au plafond rappelant une piste d'atterrissage. D'ailleurs, on a vraiment l'impression d'être dans un hall d'aéroport (en moins propre). Des deux côtés se trouvent, tous les 20 mètres, les portes d'accès au bus avec le numéro du vol. Des écrans indiquent le prochain départ et les usagers se pressent dans ce long couloir propice aux sprints.

 

Comme un mouton de panurge, je m'entasse dans la masse bigarrée du 258 en partance pour Nanterre. Toujours ce même silence matinal. Une petite femme arrive et tombe dans les bras d'une de ses collègues. La conversation va bon train : "ça va ?" dit la première à la tête de Julie Andrews dans "La mélodie du bonheur" et au sourire béat. "Et le boulot, ça va ?". Non, décidément, la pauvre petite femme ne va pas, entre un chef évidemment acariâtre et exigeant et une mauvaise nuit à cause de maux de dos qu'elle a souvent, mais c'est pas grave, ça va passer et, non, elle n'a pas vu de docteur... "Et sinon, ça va ?"...  Sauvée par l'arrivée du bus, Julie Andrews coupe court au monologue de sa petite collègue collante pour se concentrer sur son ticket à valider et sur sa place dans la file (si on peut utiliser ce nom pour l'amas de personne qui se pousse pour obtenir chèrement sa place dans l'embarquement en cours). "On tasse ! On tasse encore un peu au fond, s'il vous plait !" C'est qu'on en met du monde dans un bus !

 

Nous démarrons. Toujours le silence mais à y bien écouter, on peut entendre le tintamarre assourdissant des pensées des uns et des autres : la fièvre du petit, les prochaines vacances à prévoir, le rapport à finir pour avant-hier, la grand-mère souffrante, la météo du jour, le rendez-vous avec l'instituteur, le frigo vide, le bac du grand à réviser, la voiture en panne, le loyer à payer, les impôts à provisionner, le déménagement à organiser, la rupture à annoncer, la bonne soirée d'hier et la nuit torride qui a suivie, Sarko et Ségo, etc. Et ce bus qui se traîne... A mes pieds, un autocollant fixé sur le sol propose les services à domicile d'un ostéopathe... Où est-elle la petite dame souffrante ?

 

L'arrêt "Les Bergères" est annoncé et son resto pour noces et banquets : ici, on me fête, chouette !  Montées et descentes s'entrecroisent en râlant. Et le bus, toujours aussi lourd, repart péniblement.

 

Un voyant rouge s'allume, tandis que le haut-parleur me sort de mes conjectures sur la nature humaine : "fini dodo, fini métro ! Au boulot !" me lancent les deux en choeur !

J'y suis enfin, après une heure ! La journée peut commencer sans heurt. Prendre les transports, c'est pas pire que de vivre dans un chantier ! Mais, quitter mon chantier, voyez dans quels transports cela me met !  

 

 

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31 mars 2007 6 31 /03 /mars /2007 19:49

 

 Mais que font-ils ? Plus de mail, plus de blog ? Ils ont fini et n'en ont rien dit ? Ils prennent une année sabbatique ? Ils ont été terrassés par une bronchite poussiériforme ?

Pourtant, d'aucuns ont dit avoir vu le maître des lieux se débattre avec des mécaniques récalcitrantes, usées par le poids des années  

 

 

 

tandis que Madame aurait été aperçue en pleine extase devant son jardin bourgeonnant.

Le week-end dernier, un jeune reporter londonien, un certain JR, aurait recueilli chez lui une mère et ses deux filles répondant au signalement de nos Dindons, égarées en pleine City, comme revenues à l'état sauvage (des "Wild Turkey"...)

Sans être gauche et en y regardant de près, la ressemblance est effectivement troublante.

Mais là où ça se complique, c'est que Monsieur aurait été vu en Argentine au même moment, au Carrefour de 5 tournages de pub...

L'enquête piétine.

Les voisins commencent à se plaindre du silence qui règne sur cette maison. Ils n'y sont pas habitués. Quelle est cette oisiveté soudaine ? Les langues se délient et les bricoleurs riverains confient combien ils regrettent les conseils éclairés et l'atelier outillé de leur voisin : "Il n'est plus là pour donner le tempo le samedi matin et imprimer un rythme au week-end. Ca va pas se faire tout seul ! Il faudrait bien qu'il s'y remette !"

Sage parole à méditer avant que cette pause ne "paresse" s'éterniser...

 

 

 

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31 mars 2007 6 31 /03 /mars /2007 19:23

 

Pas de visibilité par le hublot, mon captain !

 

 

Normal moussaillon,

ça chauffe aux machines !

 

C'est beau quand c'est fini !!!

 

 

 

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24 février 2007 6 24 /02 /février /2007 11:56

 

 C'est Coluche qui faisait rire des salles entières sur le thème de : "la nouvelle lessive lave plus blanc que blanc" ! et j'étais la première à rire à gorge déployée du ridicule de cette accroche publicitaire ! Aujourd'hui, l'oie blanche que j'étais ne rit plus. J'ai découvert une vérité digne de La Palisse : il y a des blancs plus blancs que blancs ! Et vous ne pouvez pas imaginer à quel point cela me fait rire jaune !

Je sens bien, ici, votre stupéfaction, vous qui redescendez à peine des sommets enneigés de blancheurs éternelles. Il est connu comme le loup blanc qu'un verre de blanc ne l'est pas. Et les cordons bleus savent également que le blanc de l'oeuf, à moins de n'être monté en neige, ne risquera pas de vous éblouir de sa blancheur. Mais pour le reste, le blanc est ce qu'il est, et ne fait généralement pas voir rouge.

Alors, voici comment le blanc est devenu ma bête noire.

Il y a deux jours, je commençais à peindre en blanc la cheminée fraîchement vêtue d'une longue robe en BA13.

De droite à gauche. Du mur jaune/vert vers les briques blanches.

Arrivée sur la gauche, je repasse une couche de peinture sur lesdites briques, a priori blanches, mais passablement salies par le ponçage de la poutre.

C'était une de ses journées presque printanière où soleil et nuages jouent à cache-cache.

J'allais achever ma cheminée quand un rayon vengeur vint me narguer en faisant éclater la blancheur des dernières briques peintes, mettant en exergue leurs voisines blanchâtres.  

J'étais verte. J'avais devant moi un blanc très légèrement bleu tant il est blanc, et un autre blanc tirant vers le jaune. Qui est blanc dans cette histoire ?

Qu'est-ce que c'est que cette peinture blanche qui m'en fait voir de toutes les couleurs ! 

Soyons honnête, j'avais déjà été marron sur une histoire de blanc. J'avais même repeint, au mois de décembre dernier, un mur dont la blancheur était loin de montrer patte blanche.

Nous avions changé de blanc et le peintre que je suis, avait été blanchi des soupçons qui pesaient sur lui.

 

 

 

 

Là où l'histoire m'empêche de voir la vie en rose, c'est que je me dis que si je commence à mettre une couche de blanc sur un blanc moins blanc, je vais entrer dans une ronde sans fin, en noircissant un tableau qui n'est au fond pas si catastrophique que ça. 

Je décide donc de ne pas me faire des cheveux blancs pour ça. Ce serait un comble de broyer du noir pour du blanc !

 

Tant pis, je n'aurais pas des blancs de blancs.

 

De toute façon, c'est meilleur à boire qu'à voir !

 

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12 février 2007 1 12 /02 /février /2007 09:55

Quelle différence y a-t-il entre ces deux photos ?











un an ! (non, ça n'est pas la même poussière, c'est la 52ème couche successive).

Ces jours-ci, nous soufflons (non, pas la poussière !) la première bougie du début des gros travaux :

 il y a un an, nous refaisions la cuisine, (comme c'est agréable d'avoir une cuisine !)

la salle de bain,








 l'entrée et la salle-à-manger.

 

 

 

 

 

 


 Les ouvriers s'installaient dans notre maison  et nous découvrions que "chantier" est un terme dont la définition est d'une justesse agaçante.

 

 

 

Pour fêter ça, nous nous sommes donc replongés dans la poussière (oui, vous avez raison ! nous ne l'avons jamais quittée).

Au programme de ce week-end, ponçage de la poutre,

 

 

 

 

 

 du tour de cheminée et habillage de la cheminée. (qui était à la hauteur de l'ancien plafond)                                                             Dubitatif ? Professionnel !

 









Le ponçage a bien vite déposé une légère poudre blanchâtre sur tous les meubles, malgré la bâche mise en place. Et une odeur de madeleine s'est alors dégagée. Ce bon vieux Proust ! C'est une odeur de poussière de bois vieilli, voire un peu pourri, mélangée à l'air humide de cette journée pluvieuse. Imprenable et inoubliable ! Voilà que j'ai perdu un an en quelques secondes ! Magique, non ! 

 

Il y a, quand on fait des travaux, des moments où, un détail changé, une finition achevée, révèlent une joie intense ; on se rend compte à quel point l'état précédent nous tapait sur les nerfs.

 

 

La cheminée, ainsi rhabillée, se place dans le top dix de "nos petits plaisirs simples".

 

Ca valait bien un peu de poussière !

 

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11 février 2007 7 11 /02 /février /2007 15:55

 

Au mois de mars, il y a un an, nous découvrions quelques jeunes pousses annonçant l'arrivée du printemps.

 

 

 

 

  

Aujourd'hui, au même endroit, nous découvrons avec stupéfaction les mêmes pousses !

 

 

 

 

 

 

 Bien sûr, il y en a 4 fois moins que l'année dernière, mais nous sommes vraiment étonnés de constater que quelque chose ait pu pousser à cet endroit, le plus "bétonné" par les travaux, le plus souillé par des détritus divers (clous, mégots, cailloux, parpaings, etc.)

  

 

 

 

 

 

 

...juste là-dessous !

 

La nature est vraiment exceptionnelle !

 

 

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11 février 2007 7 11 /02 /février /2007 14:17

 

La bibliothèque a enfin été remontée, après 20 mois. Elle ne semble pas trop avoir souffert du déménagement.

 

Dans la série des "y'a plus qu'à", le numéro 4729 : y'a plus qu'à vider les cartons (de la bibliothèque) !

 

 

 

 

 

 

 

ceux-là même, qui, bien droits, bien rectangulaires, bien remplis, décoraient avantageusement les murs de notre appartement.

 

 

Ce sont ces mêmes cartons que je viens de redécouvrir dans un amont informe au fond du garage... (je vous confirme que l'appareil photo est droit).

 

 

 

 

 

L'humidité a fait son effet et les enfants ont également participé à cette sculpture d'Art moderne qui pourrait figurer au Musée de la Poubelle.

 

  

 

J'ouvre les cartons un par un et redécouvre les trésors qu'ils dissimulaient : curieusement, ce sont les livres anciens qui ont le moins soufferts car leur épaisse couverture de carton les a protégés de l'humidité, alors que les livres de poche en sont gonflés.

 

 

 

Le rangement n'est pas rapide car chaque nouveau livre sorti invite à prendre une pause pour le relire : un vrai plaisir !

 

Les filles découvrent que nous avons des BD et les emportent rapidement dans leur tanière.

 

 

 

 

Après avoir défait quelques cartons de la bibliothèque, j'ai enfin accès à d'autres contenant des affaires de la cuisine. Ca y est : j'ai retrouvé mon service à thé (théière exceptée) !  Je défais donc mes placards pour les réorganiser.

 

Conclusion : ranger, ça met un de ces bazars !

 

 

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27 janvier 2007 6 27 /01 /janvier /2007 21:23

 

 Fin de janvier, le salaire est enfin tombé ! Vite, courons le dépenser ! A nous les soldes ! Mais de quoi avons-nous besoin au juste ? 

-  encore du parquet pour habiller l'entrée et la salle-à-manger.

- une nouvelle base pour pouvoir réinstaller la bibliothèque et ses livres qui moisissent dans le garage depuis 18 mois.

- des luminaires (non décidément, il n'y a rien qui nous plaise pour l'instant...) 

- de nouvelles poignées de porte (merci Isa de ton passage qui nous a poussé à mettre enfin de vraies poignées pour que nos invités ne se retrouvent pas enfermés dans leur chambre à minuit et demi...)

 

 ..... et puis, il y a des envies de luxe, de ce "vrai" luxe que seule une maîtresse de maison qui vient de vivre une année dans les travaux peut comprendre :

 - nouveaux gants de toilettes 

 - nouveau tapis de bain (merci Flo !)

 - nouvelle nappe et serviettes de table (merci belle-maman !)

 - nouveaux torchons ! ....

 et pour les nouveaux chiffons, cf. les anciens linges de maison ci-dessus !

 

Bon..... et bien vivement le prochain salaire et les prochaines soldes !....

  

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21 janvier 2007 7 21 /01 /janvier /2007 17:04

 

 

 

 

 

Et pour le prix des girandoles,

 

 

 

 

 

 

il y a même le valet !

 

 

 

 

 

 

 

et même s'il y a encore un peu de travail...

 

 

 

... quel progrès !  

Souvenez-vous, il y a 10 mois seulement !...

 

 

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14 janvier 2007 7 14 /01 /janvier /2007 19:28
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