12 septembre 2009
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Le dos de mon Dindon, à n'en pas douter, n'a pas de don admirable. S'il est doux et doré l'été, il n'est pas démesurément dodu ni doté de dessin distinctif.
Du dos du Dindon, on doit dire que, dès qu'il y a des dimanches, il se donne du mal pour notre domicile et, docile, est défié sur de drôles d'idées, d'où des dommages divers...
Dame oui ! C'est donc un dimanche, dès le début du jour, qu'il se distingua !
Dominant le dôme de l'étage, à demi-dressé en équilibre sur quelques doigts de pieds et drôlement disposé de travers, alors que le docte Dindon devisait sur des vis dévissées du plafond à dompter définitement avec la dévisseuse d'un coup de doigté adroit, le dos, sentant un disque disgrâcieux, se détourna de son devoir ! Devant la distorsion discutable avec laquelle il devait rester dressé, le dos démissionna. Une drôle de douleur déchira le Dindon et se diffusa directement de haut en bas. Le Dindon dut descendre de son point de vue devenu délicat et douloureux...
Donnant donnant, dit-on. Le don de soi du dos du Dindon avait dépassé les bornes, l'obligeant à donner l'alerte ! Diantre, quelle douche froide ! Notre Dindon dut cesser ses diableries durant deux décades afin d'adoucir puis de faire disparaître les doléances du dos devenu douillet... Le Dindon dormit double dose et son dos dorlota avec douceur deux dimanches.
Des outils du Dindon, le dos et les doigts sont définitivement à défendre de tout désastre... ; dos de Dindon douillet, durée des desseins du domicile doublée... :)
Du dos du Dindon, on doit dire que, dès qu'il y a des dimanches, il se donne du mal pour notre domicile et, docile, est défié sur de drôles d'idées, d'où des dommages divers...
Dame oui ! C'est donc un dimanche, dès le début du jour, qu'il se distingua !
Dominant le dôme de l'étage, à demi-dressé en équilibre sur quelques doigts de pieds et drôlement disposé de travers, alors que le docte Dindon devisait sur des vis dévissées du plafond à dompter définitement avec la dévisseuse d'un coup de doigté adroit, le dos, sentant un disque disgrâcieux, se détourna de son devoir ! Devant la distorsion discutable avec laquelle il devait rester dressé, le dos démissionna. Une drôle de douleur déchira le Dindon et se diffusa directement de haut en bas. Le Dindon dut descendre de son point de vue devenu délicat et douloureux...
Donnant donnant, dit-on. Le don de soi du dos du Dindon avait dépassé les bornes, l'obligeant à donner l'alerte ! Diantre, quelle douche froide ! Notre Dindon dut cesser ses diableries durant deux décades afin d'adoucir puis de faire disparaître les doléances du dos devenu douillet... Le Dindon dormit double dose et son dos dorlota avec douceur deux dimanches.
Des outils du Dindon, le dos et les doigts sont définitivement à défendre de tout désastre... ; dos de Dindon douillet, durée des desseins du domicile doublée... :)